Pour dessiner la perspective cavalière, j’ai commencé par tracer la porte avec un crayon à papier. J’ai dessiné des briquettes puis des serpents de différentes couleurs.
Derrière cette porte se cache un immense paysage réaliste, à perte de vue. J’ai imaginé un long chemin qui se rétréci au bout, pour donner de la profondeur au dessin. J’ai aussi travaillé l’intensité des couleurs en effectuant un dégradé du marron foncé au marron clair.
De chaque côtés du chemin se trouve des arbres qui représentent une forêt selon la perspective atmosphérique.
Cette technique permet de donner du relief à mon paysage. J’ai donné de la profondeur grâce aux différentes nuances de vert. Par exemple, au premier plan les arbres sont foncés, colorés et nets, et deviennent de plus en plus flous et clairs en fonction de leur éloignement.
De la même manière, j’ai fait des champs et des bottes de foin.
Je n’ai pas utilisé la perspective linéaire.