Ma publicité a été créée à partir de la peinture à l’huile intitulée « Saint Georges et le Dragon » ou « Saint Georges luttant avec le Dragon » réalisée entre 1503 et 1505 par Raphaël (nom francisé de Raffaello Sanzio), un peintre Italien. Elle représente la légende de Saint Georges, qui aurait abattu un dragon qui réclamait des sacrifices humains, sauvant la princesse désignée comme sa prochaine victime de ses griffes. J’ai choisi cette peinture tout d’abord pour sa célébrité. La position des différents personnages, ce geste défensif du chevalier envers la princesse qui s’interpose entre elle et le Dragon, m’a fait penser à la possibilité d’interpréter la bataille que représentée l’œuvre sous une forme sportive. Ainsi, le Dragon, en position d’attaque, pouvait représenter un assaillant, essayant d’atteindre l’emplacement de tir ou de but. Le chevalier, lui, représenter bien sûr son opposant et la princesse, en plein mouvement, semblait prête à intercepter toutes balles ou ballons venant vers elle. Son emplacement serait donc celui des buts. Restait le choix du sport. Celui-ci a été influencer par notre région, Toulouse étant une ville connue pour son amour du rugby. Une fois le sport choisit, il ne me restait plus qu’à placer des éléments principaux de cette activité sur mon tableau. Le ballon, qui m’a guidé sur le choit de Gilbert comme marque représentée dans cette publicité, a fini entre les pattes du Dragon, dont la proximité était idéale pour cet objet. La princesse s’est vue assignée des poteaux et le chevalier et resté tel quel, défendant son équipe. J’ai ajouté le logo de Gilbert sur mon œuvre et mis un slogan. J’ai eu l’idée de reprendre le concept des batailles pour celui-ci car c’est ce qui m’a mené au choix de cette œuvre. Interprétant cette guerre médiévale sous un autre angle, plus moderne et sportif, mon slogan est né !