La première nous montre un fond bleu, un tronc noueux et des ramures recourbées qui font penser à des griffes. La deuxième est monochrome, le passage à la simplification et à la géométrie est évident. Les branches s’étirent et deviennent géométriques. Dans la troisième, il ne reste du pommier que le titre. Les ramifications des arbres recouvrent peu à peu toute la surface de la toile. Des lignes verticales et horizontales se croisent, les courbes demeurent. Le dessin «classique» de l’arbre a disparu.